Depuis la découverte du vélo, le sport cycliste tient une bonne place parmi les sports pratiqués. L’évolution de la technologie le rend plus accessible et plus attirant. Il ne manque rien à son avantage, ce qui mérite l’attention de ses adeptes. Le problème tourne autour de l’air et de ses composants, que le cycliste respire durant son entrainement ou les compétitions. Cette inhalation impacte beaucoup sur sa santé.
Le problème des masques
La composition de l’air varie énormément selon le lieu et le climat. Dans une zone industrialisée, la pollution est très élevée, mais en zone rurale où l’on se considère être à l’abri des particules toxiques, le mal est répandu et présent presque partout. Des particules fines mélangées à d’autres polluants chargent l’air que le cycliste inhale sur son parcours. La réalité est que chacun baigne dans cet air sali par le dioxyde de carbone, de soufre et d’autres particules dont la présence accentue les problèmes cardiaques et aggrave les risques de maladies respiratoires. Avec la vitesse de déplacement qu’il développe, le cycliste amasse et respire le maximum de ces composants polluants sur sa route. Pour se protéger, le seul recours, c’est de porter un masque. Mais quel type de masque ? Les masques antipollution sont-ils efficaces ?
Les solutions mises en pratique
La première trouvée est la fabrication des masques antipollution que beaucoup de cyclistes approuvent. Un tour de reconnaissance sur le marché donne plus d’éclaircissements sur la fabrication. Les filtres des masques anti-pollution sont constitués de charbon actif ou électrostatique qui écartent certains allergènes et évitent les odeurs désagréables. Des recherches sur la forme du cache bouche-nez et leur concrétisation sur des nouveaux matériaux améliorent la performance des masques. Ils filtrent les particules les plus petites. Il existe une variété de masques selon le type de filtre utilisé. La forme géométrique est adoptée couvrant la partie faciale du nez au menton. Le masque désigné FFP est plus efficace à en juger par ses taux de filtration et de fuite définis par la norme EN149. Des tests en laboratoire approuvent l’efficacité protectrice de ces masques antipollution. Ils sont classés en trois catégories. Connus sous les appellations FFP1, FFP2 et FFP3 selon le pourcentage de filtration obtenu, il y a une filtration minimum à 78%, 92% et 98% des polluants de l’air.
Les avantages du port de masque antipollution
Une gêne respiratoire apparaît par le port de masques. Cet inconvénient pousse à avoir une respiration accélérée qui aboutit à une absorption massive des particules fines. La rectification de la forme du masque participe à la diminution de l’infiltration des polluants. Ils pénètrent par l’interstice entre la joue ou le menton et le tissu employé pour couvrir le visage. Une solution est offerte afin de ne pas absorber trop d’impuretés : rouler doucement tout en choisissant un parcours loin de la pollution. Les masques antipollution sont conçus pour la protection contre les gaz nocifs, les poussières, les vapeurs et toutes les autres particules qui correspondent à la pollution automobile. Ces particules dont la taille est inférieure à 2,5 µm, alourdissent l’atmosphère et se répandent dans l’air. Elles peuvent être stoppées par ces masques. Ces derniers réagissent différemment et filtrent les particules fines venant de l’extérieur, selon leur taille, pour ne pas atteindre les bronches. Il est meilleur de porter un masque qui adhère bien à la morphologie du visage. Cette exigence aide à empêcher la pénétration d’air nocif.